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Dans sa dernière livraison, le « Bilan du monde 2008 », hors série du quotidien Le Monde, revient sur les chiffres 2007 du Sultanat de l’Oman pour cette année. Sous la plume d’Olivier Da Lage, la publication fait référence aux déclarations du ministre de l’Economie Ahmed Ben Abdel Nabi Mekki selon lequel la production pétrolière aurait décliné de 2% en 2007 pour atteindre 730.000 barils.
« Les revenus pétroliers (607,5 millions d’euros) devraient représenter 67% des recettes publique et ceux liés à l’extraction de gaz naturel (111,4 millions d’euros) environ 12% », note encore Da Lage qui précise que les revenus tirés des exportations de gaz naturel « sont en progression de 46% par rapport à l’année 2006. »
De même, le Bilan du Monde 2008, relève que les « exportations non pétrolières ont atteint pour la première fois, le cap des 2,025 milliards de dollars en 2007 » soit une hausse de 82% par rapport à 2006 !
Enfin, la publication rappelle que le Sultanat d’Oman devrait renoncer à faire partie de l’union monétaire du Conseil de coopération du Golfe (CCG) qui est censée se mettre en place en 2010. Et de citer les propos de Hammoud Al-Zadjali, le gouverneur de la Banque centrale du Sultanat, qui a avertit en main 2007 qu’Oman « ne veut pas que sa politique financière et monétaire soit tributaire des exigences de l’unité monétaire du CCG. » Une position dictée notamment par le regain d’inflation au plus haut depuis dix ans en raison de la chute du dollar, devise à laquelle le rial omanais est arrimée.
De même, le Bilan du Monde 2008, relève que les « exportations non pétrolières ont atteint pour la première fois, le cap des 2,025 milliards de dollars en 2007 » soit une hausse de 82% par rapport à 2006 !
Enfin, la publication rappelle que le Sultanat d’Oman devrait renoncer à faire partie de l’union monétaire du Conseil de coopération du Golfe (CCG) qui est censée se mettre en place en 2010. Et de citer les propos de Hammoud Al-Zadjali, le gouverneur de la Banque centrale du Sultanat, qui a avertit en main 2007 qu’Oman « ne veut pas que sa politique financière et monétaire soit tributaire des exigences de l’unité monétaire du CCG. » Une position dictée notamment par le regain d’inflation au plus haut depuis dix ans en raison de la chute du dollar, devise à laquelle le rial omanais est arrimée.
source : Le Bilan du Monde, janvier 2008